Pour garantir l’égalité des chances entre les candidats/étudiants, les modalités d’évaluation seront dans la mesure du possible inclusives. Des aménagements aux conditions de passation des épreuves orales, écrites, pratiques ou de contrôle continu des examens de la certification, rendus nécessaires en raison d’un handicap ou d’un trouble de la santé invalidant, sont prévus. Ces aménagements peuvent inclure l’octroi d’un temps supplémentaire et sa prise en compte dans le déroulement des épreuves, d’un aménagement pratique tout au long de la formation (locaux, matériel…), la présence d’une personne externe susceptible d’améliorer les conditions de formation, un dispositif de communication adapté, la mise à disposition d’un équipement adapté ou l’utilisation, par le candidat/étudiant, de son équipement personnel. Tout candidat/étudiant peut saisir le référent handicap pour aménager, dans le respect du règlement des examens et des spécifications du référentiel, les modalités d’évaluation. Le jury de certification peut enfin décider de neutraliser certains critères d’évaluation, sur avis motivé du référent handicap, dans la mesure où ces critères sont rendus non-pertinents au regard de la nature du handicap et s’ils ne relèvent pas du cœur de l’activité professionnelle constitutive du métier visé.
Par aménagement, les candidats/étudiants, avec le soutien des référents handicaps, peuvent demander des dispositions particulières. Les formateurs sont tous sensibilisés sur le champ du handicap et ont accès à un guide inclusif.